Entre les sorties "baskets aux pieds" pour éviter de trop perdre la forme, et les sorties "skis aux pieds" pour vite profiter des quelques chutes de neige avant l'arrivée du redoux, j'ai trouvé
un peu de temps pour aller faire quelques photos.
Je suis notamment allé photographier la "quasi-pleine lune" (pleine à 97 %) de fin novembre, quelques jours avant l'arrivée de la première neige.
Dans la suite du diaporama, vont s'intercaler quelques photos prises par la caméra automatique:
un renard qui semble regarder le piège photo, mais, d'après moi son regard se porte plus haut que l'appareil, soit dans l'arbre, soit dans la pente. Il y aura aussi un sanglier, puis une biche allongée dans la petite mare de boue, 3 minutes avant l'arrivée d'un chien de chasse (pourtant toujours dans le même secteur "réserve de chasse et de faune sauvage = chasse interdite (quadrillage rouge)" du Mt Vorassay. Et enfin, un chevreuil.
Suivront deux photos de ma balade "classique" après une bonne chute de neige, dans le secteur d'Armancette. Ce jour là, j'avais fait une bonne partie de la trace dans 50 cm de neige fraîche.
Vous verrez ensuite une image de lichen, seule photo ramenée d'un affût de plusieurs heures à 1600 m le 20 décembre.
Ensuite, une "image miracle" car réalisée sans trépied, avec le coude en appui sur le dossier de ma chaise de camping". En effet, j'ai du me tourner presque à 180° pour photographier ce pic épeiche qui tambourinait dans mon dos !! Altitude: 1250 m.
Enfin, en guise de sortie "de récupération", j'ai trainé l'appareil photo (mais sans trépied et sans matériel de camouflage), jusqu'à 2200 m d'altitude, pour aller photographier les niverolles alpines qui parcourent tout le secteur entre col du Joly et col des Chasseurs. Les niverolles sont faciles à photographier, car elles ne sont absolument pas craintives et s'approchent facilement très près (trop près !). Mais en même temps, il est compliqué de les cadrer car elles ne restent jamais immobiles. Par exemple, j'en avais repéré une, joliment posée sur un bout de rocher à 3 ou 4 mètres, avec un bel arrière plan. Le temps de mettre mon œil dans le viseur, elle avait disparu. J'ai déplacé le téléobjectif dans tous les sens, impossible de la retrouver. Je relève la tête et je la vois juste là, à 20 cm devant le téléobjectif, à deux doigts de sauter dans le pare soleil (qui mesure bien 10 cm de profondeur) !
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